Le soir du printemps pendant lequel on découvre que les jours allongent
Le roucoulement des tourterelles devant la grange de Banel
En pirogue sur le lagon de Bora-Bora, dans une eau si transparente que l’on croit voler
Mycènes
La bibliothèque de Catherine de Médicis à Chenonceaux
Le doux regard des vaches Aubrac
Le petit déjeuner, au premier étage d’une maison bourgeoise sur Prinsengracht
Catie
Conduire la nuit sur une route déserte
L’eau sous toutes ses formes, et les canaux qui la domptent
L’orage, pluie et éclairs, en étant au chaud dans la maison
Un corps nu sous le soleil
Les cartes géographiques, les plans de ville, les plans en relief des Invalides et du musée de Lille, toutes les représentations du réel à une échelle qui le rende maîtrisable
Savoir que mes amis viendront si je les appelle
Les fous rires avec Françoise
L’éloge de la folie, d’Erasme de Rotterdam, et tous les autres livres
L’odeur du kérosène à l’approche d’un aéroport
Se perdre dans les vertes collines de l’Aubrac au printemps, avec leurs milliers de fleurs
Les bords de Loire
Un orchestre, un choeur et un chef, pour jouer de la musique baroque
La chapelle de Ronchamp
Les dunes
Les hauteurs
Etre caressé, et la suite
Bonaguil
Voir décoller un aéroglisseur
Les tulipes
Venise
Ma grand-mère Hélène
Le petit cimetière de Thorsager
Pouvoir décider d’être seul